Né en 1954, Daniel Delfour fabrique ses beaux violons et altos dans sa maison du quartier Bonnefoy. Il y a installé un vrai atelier d'artisan, avec établi, outils, instruments en cours de fabrication, fioles contenant les précieux vernis, instruments accrochés aux murs.
« J'ai abordé ce métier par passion à 20 ans, après avoir poursuivi des études supérieures d'anglais et de communication à Toulouse », raconte-t-il, « En fait j'ai rencontré l'objet violon à neuf ans à Brive en découvrant la devanture d'une échoppe de luthier. C'est là que ma vocation est née. J'ai appris l'anglais pour pouvoir rejoindre l'école de lutherie de Newark dans le comté de Nottingham. J'ai passé cinq ans en Grande- Bretagne. Je me suis installé à Toulouse dès mon retour en France »
Retrouvez l'interview complète sur La Depeche.fr